![07761](/images/stories/Urbanisme/07761.jpg)
L'Eglise Saint-Hilaire,
et la Mairie d'Halluin, en 1900.
(Photo n° 7761)
![Clipboard06](/images/stories/Administrations/Anciens maires/Clipboard06.jpg)
Paul-Pierre Defretin
Maire d'Halluin en 1900.
Halluin et ses Industries... en 1900 !
Pour Halluin, 1900 fut vraiment la belle époque...
La ville était alors en plein essor industriel.
![AL-00256](/images/stories/Urbanisme/AL-00256.jpg)
Le Tissage Defretin, rue de la Gare, vers 1900.
Il comptera plus de 1200 ouvriers.
(Photo n° AL256)
![02643](/images/stories/Economie/02643.jpg)
M. Jules Gratry, en 1900.
Fondateur du Tissage
rue de la Lys Halluin.
(Photo n° 2643)
![02659](/images/stories/Economie/02659.jpg)
Le Tissage Gratry, au début du XXème siècle :
Il comptait plus de 1000 ouvriers avant 1914.
Partie de l'usine, face à la future rue Jean Jaurès.
(Photo n° 2659)
On y dénombrait :
15 fabriques de toiles.
5 tissages mécaniques de tissus.
3 blanchisseries de fils.
4 fabriques de châles.
4 teintureries.
2 fabriques de toiles d’emballage.
1 filature de coton.
2 fabriques de papier de fantaisie.
2 filatures de lin.
![02311](/images/stories/Economie/02311.jpg)
Le rouissage du lin,
sur les bords de la Lys, en 1902.
(Photo n° 2311)
3 imprimeries.
2 fabriques de caoutchouc.
8 fabriques de chaises.
3 fabriques de chicorée.
1 fabrique de construction de ciment armé.
1 manufacture de carreaux en ciment.
2 fonderies de fer.
1 fonderie de cuivre.
3 chromolithographies.
![00820](/images/stories/Economie/00820.jpg)
Un groupe d'ouvrières de l'atelier d'imprimerie,
et fabrique d'images (Chromolithographie)
Maison Eblagon-Landsberg, rue Palestro, en 1910.
(Photo n° 00820)
1 fabrique d’orgues.
1 fabrique d’huiles.
7 brasseries.
1 tuilerie.
1 tannerie.
1 bonneterie.
1 vannerie.
235 cabarets.
![02962](/images/stories/Economie/02962.jpg)
Estaminet "A l'arrivée des cyclistes".
tenu par Mme Libert vers 1900.
(Photo n° 2962)
![03992](/images/stories/Urbanisme/03992.jpg)
Bureau des Douanes - Rue de Lille Halluin,
Années 1900.
(Photo n° 3992)
21/2/2012.
Commentaire : Daniel Delafosse.
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